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Il y là un profond déséquilibre structurel qui ne pourrait être ma?trisés qu'au prix d'efforts énormes qui péseraient, d'une fa?on ou d'une autre, sur tous nos concitoyens : très forte augmentation des recettes fiscales (augmentation des imp?ts) ou dépenses en très forte diminution (les conséquences sociales peuvent être imprévisibles) ou bien panaché des 2, mais là également l'effort à consentir par toute la population [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] est difficilement quantifiable.
A fin Septembre 2009 notre dette était détenue à 67,3 % par des non-résidents, ?sans charger outrageusement la barque : quelques Pays nous tiennent par la barbichette !
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Mme Lagarde l'a confirmé : les dépenses publiques qui représentent 1076 milliards d'Euros devront progresser de seulement + 0,9 % par an à partir de 2011, alors qu'elles ont augmenté de 2,25 % par an entre 1997 et 2007. Cela suppose à limiter la hausse annuelle de la dépense publique à 10 milliard d'Euros.
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Que de contre-vérités ! On cherche à faire avaler à un grand nombre de compatriotes qui n'a ni la formation, ni le [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] désir d'éplucher les comptes publics publiés par le Ministère des Finances, il faut bien reconna?tre à moins d'être? un minimum initié, ce n'est point la lecture d'un "Corto Maltèse" et encore moins "Les aventures de Suzette" .
Les contre-vérités sont nombreuses : d'abord il ne [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] faut pas confondre le déficit budgétaire [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] et la dette, le déficit est la perte sur une année, la dette est l'accumulation des pertes sur plusieurs années, en l'occurrence plus de 30 ans.
M. Philippe Séguin, peu de temps avant son décès, estimait à 4 à 5 points de PIB ?notre déficit structurel (hors effet crise). ?Soit près de 100 milliard d'Euros. Très difficile sera le retour à l'équilibre, d'autant que la charge de la dette absorbe une part croissante du budget de l'Etat et représente déjà la quasi-totalité de l'imp?t sur le revenu des Fran?ais.
Le déficit budgétaire et la dette publique sont les 2 talons d'Achille de la France, ne [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] vous laissez égarer par les contre-vérités gouvernementales !
Malgré la progression rapide de la dette sous l'effet de la crise économique, le gouvernement "n'a pas d'inquiétude particulière" sur la notation AAA de la dette fran?aise (on appréciera la mention "particulière").
Mais,il faut néanmoins avoir conscience qu'avec les incertitudes économique qui pèsent sur beaucoup de Pays, les risques géo-politiques qui sont de plus en plus prégnants, les effets climatiques qui sont mal cernés, mais néanmoins, pour une part réelle et inquiétante, même les plus qualifiés des experts ne peuvent affirmer que les risques sur dettes souveraines sont quasiment nuls, la moindre étincelle, la moindre erreur de jugement, peuvent tout bouleverser du jour au lendemain.
Une part de ce stock de déficits se résorbera avec la reprise (si elle est solide). Une part seulement.
L'examen plus attentif du budget de l'Etat de 2009 publié par le Ministère des Finances est loin de lever nos inquiétudes : les charges budgétaires de l'Etat pour 2009 se monte à 410 milliards , alors que les recettes nettes ?du budget général pour le même exercice n'atteignent que 196 milliards.
M. Thierry Breton dans un article récent publié dans Le Monde, rappelle que les critères de Maastricht sont : 3 % de déficit et 60 % d'endettement. Il estime qu'il est clair que ces critères sont hors de portée pour une majorité de pays dans un horizon rapproché. C'est le cas de la France.
M. Thierry Breton va plus loin, à supposer que nous revenions à l'équilibre budgétaire d'ici à la fin de la décennie, notre dette serait tout juste [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] contenue autour de 100 % du PIB du fait de la [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] dynamique embarquée. C'est ce qu'on appelle l'effet "boule de neige" de [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie and fitch[/url] la dette . A ces niveaux, nous entrons dans un monde nouveau !
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La Ministre de?l'Economie Christine Lagarde a précisé, mardi 2 Février, à [url=http://www13.plala.or.jp/white_roots/gwbbs/gwbbs.cgi]woolrich parka Ligue des cham[/url] la Commission Européenne, le chemin que va emprunter la France pour réduire de plus de 5 points son déficit public et le ramener dès 2013 sous la barre des 3 % du produit intérieur brut (PIB), qui sont, rappelons-nous, les critères du Traité de Maastricht.
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Cette dette [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] donne lieu à paiement d'intérêts (charge de la dette), c'est à dire que nous payons vous et moi, sous une forme ou une autre !
La trajectoire d'évolution des finances publiques [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] de la France transmise à la Commission Européenne [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister outlet[/url] prévoit que la dette publique atteindra 86,1 % du PIB en 2011, 87,1 % en 2012 et 86,6 % en 2O13, ceci prenant en compte un PIB annuel grosso modo de 1950 milliards d'Euros.
Revenons à la cotation AAA pour la dette souveraine de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] la France, il est exact que dans ?la période actuelle : inflation minime, taux [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4pcs-LED-Tyre-Tire-Valve-Caps-Neon-Lights-Bike-Car-New-/220639832483]abercrombie and fitch Xango I[/url] faibles, et surtout une masse de liquidités considérable prête à s'investir, malgré les rapports faibles, dans les dettes souveraines, et particulièrement, entre autre, celle de la France.
Notre dette publique, selon les prévisions du Fonds Monétaire International (FMI) et de Bruxelles, aura augmenté de plus de 50 % entre 2007 et [url=http://kqtzy.longcai0351.com/Review.asp?NewsID=470]Laccord bancaire Swift, une mesure durgence temporaire, devenue, de facto, permanente [/url] 2012, passant de 121O à environ 1850 milliards d'Euros. De 64 % à environ 90 % du PIB. Le critère de 60 % est bien hors d'atteinte pour longtemps.

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Where ever you go, this topic appears to be hot and center of all conversations Nostradamus was born in France and he was not only healer but also a kind of pharmacist. He [link widoczny dla zalogowanych] became more and more intense in occult sciences with the passage of time. When he began writing almanacs, and practicing [link widoczny dla zalogowanych] psychic advises along with interpreting horoscopes his popularity grew more. Nostradamus style of writing is renowned and his prediction about the end of the [link widoczny dla zalogowanych] world seems to [link widoczny dla zalogowanych] be coincide with that of Bible, Mayan's and Gnostic texts. There never was any direct message or clarity in any of his writings
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His predictions include French Revolution and cold blooded murder of John F Kennedy.
Things that he said before they actually happened came to be [link widoczny dla zalogowanych] true and gave [link widoczny dla zalogowanych] more weight age. [link widoczny dla zalogowanych] The [link widoczny dla zalogowanych] seed of belief was sowed in his interpretations by more and more people from all walks of life. How it created a vacuum in the lives of all those who experienced it or witnessed it, countless people confirm about September 11. One has to learn the intricacies of making appropriate selection like any other hard to believe predictions. Number of websites has started programs imparting knowledge and [link widoczny dla zalogowanych] awareness about safety in case of such a disaster. Believe it or not we have no choice but to wait for the predicted doomsday to pass. The prediction made by Nostradamus can only be proved right by the [link widoczny dla zalogowanych] survivors if any.

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Dans ce contexte, la publication de nouvelles études sur l'impact économique des migrations apporte une bouffée d'air frais à tout ceux qui tentent de un peu de recul. Celles-ci convergent pour démontrer que si l'immigration est impopulaire, c'est avant tout car les débats portent essentiellement sur [link widoczny dla zalogowanych] son co?t et rarement sur ses bénéfices.
Pas question de de l'angélisme [link widoczny dla zalogowanych] ici : l'immigration a un co?t. [link widoczny dla zalogowanych] Elle a d'abord un co?t humain, celui de migrants, arrachés pour bon nombre d'entre eux à leurs familles et qui parfois périssent dans l'accomplissement de leur destin. Elle a aussi un co?t quand leur intégration dans le pays d'accueil est mal préparée et leur contribution à la richesse nationale mal expliquée. Enfin, elle a un co?t économique, qui [link widoczny dla zalogowanych] se mesure par un taux de ch?mage a priori plus élevé que la moyenne nationale et qu'il faut [link widoczny dla zalogowanych] bien .
a annoncé l'arrêt de son programme quelques semaines à peine après la catastrophe de Fukushima, le gouvernement fran?ais a été prompt à dénoncer une décision "", prise "sous la pression des événements" et sans considération pour les enjeux de long terme que sont la compétitivité et la réduction des émissions de CO2. La cause [link widoczny dla zalogowanych] est entendue : la panique est rarement bonne [link widoczny dla zalogowanych] choses. Pour qu'une économie prospère et soit à même de ses dépenses sociales, elle a besoin de capital, de travail et d'innovation. Or, tout laisse à qu'une politique migratoire plus ouverte et mettant davantage l'accent sur l'intégration favoriserait l' sur au moins deux de ces facteurs.
Certains y voient une expression de la démocratie. Après tout, si les électeurs soutiennent majoritairement ces politiques, la messe est dite. Mais c'est le r?le de l'information dans la formation des opinions. Or ce qui frappe le plus dans récents, c'est la pauvreté de l'argumentaire du gouvernement quant à l'efficacité de sa politique "protectrice". Hélas, on n'entend pas davantage les [link widoczny dla zalogowanych] économistes et les démographes sur ces questions.
D'abord, en fournissant les jambes et les bras qui nous feront cruellement défaut lorsque nos [link widoczny dla zalogowanych] baby-boomers auront déserté les entreprises et les usines pour les tables de bridge et d'opération. Ensuite, en bousculant nos habitudes et en stimulant la création. Rappelons ici qu'un quart [link widoczny dla zalogowanych] des demandes de brevets internationaux déposés aux Etats-Unis le sont par des migrants de première génération alors que ces derniers ne représentent que 12 % de la . Des telles que , , Paypal, et Yahoo ont été créées par des migrants de première génération. Enfin, la main d'?uvre moins qualifiée nous sera tout aussi utile pour développer les à la personne, dont le potentiel économique est significatif, tout comme leur impact sur notre qualité de vie.
Ce co?t est-il correctement estimé ? Il est permis d'en . D'abord parce que les statistiques sérieuses manquent. A défaut, les décisions sont prises sur la base de témoignages. Ensuite parce que le peu de chiffres disponibles amalgament souvent migrants et fran?ais de deuxième ou troisième génération, dont [link widoczny dla zalogowanych] l'accompagnement ne relève pas de la politique migratoire. Enfin, il y a ce vieux travers humain qui fait qu'on se [link widoczny dla zalogowanych] passionne [link widoczny dla zalogowanych] pour le migrant ch?meur ou délinquant, mais qu'on tourne le dos à celui qui, silencieusement, travaille, paie ses et éduque ses enfants.
Sur la base des chiffres disponibles, on ne peut pas qu'il existe une corrélation positive entre immigration et niveau de compétitivité ; mais notre connaissance des faits est encore trop fragile et d'autres travaux nous permettront d' cette observation. En tout état de cause, si notre pays part du postulat inverse pour sa politique économique et sociale, il est permis de s'inquiéter pour son .
Cette sagesse en matière énergétique contraste avec les à-coups de la politique migratoire menée par ce même gouvernement fran?ais et par ses partenaires européens au cours des dernières années. [link widoczny dla zalogowanych] La réforme de la , exigée par MM. Fillon et Berlusconi suite à l'arrivée massive de réfugiés tunisiens sur l'?le de Lampedusa est un premier exemple de cette gestion "à chaud" de nos flux migratoires. A peine plus ancien, le projet de loi élargissant la déchéance de nationalité juste après l'affaire Liès Hebbadj donne le même sentiment d'empressement.