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publique fr?le
Damien Roustel

? Un vote pour la gauche, c'est-à-dire pour Syrisa, représente une assurance de sécurité sociale ?, n'a cessé de marteler Alexis Tspiras. ? La grande question qui se pose dans cette bataille électorale est de savoir qui va payer les pots cassés de la crise et de la relance ?, a souligné, de son c?té, Aleka Papariga, la chef du Parti communiste.
les 100 % du PIB

On prend les mêmes et on recommence. Pour la troisième fois en cinq ans, les électeurs grecs [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler sito ufficiale[/url] devront choisir entre le conservateur et actuel premier ministre Costas Caramanlis (Nouvelle démocratie) et le socialiste Georges Papandréou, tous [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] deux héritiers des plus grandes dynasties politiques de la Grèce. Le premier, cinquante-trois ans, est le neveu de Constantin Caramanlis, quatre fois premier ministre et deux fois président de la République (1980-1985 et 1990-1995). Le [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] second, cinquante-sept ans, est le fils d'Andréas Papandréou, fondateur du Parti socialiste panhéllénique (Pasok) en 1974 et deux fois premier ministre (1981-1989 et 1993-1996).
? Les deux grands partis (ND et Pasok), tout comme le Laos, la Syriza et les ?cologistes-Verts ont comme bible la compétitivité ?, a-t-elle ajouté. Le favori de ces élections, Georges [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] Papandréou, a axé sa campagne sur la relance de l'économie grecque, plombée par la crise mondiale. Le pays est au bord de la récession après des années de croissance à plus de 4 %, la dette publique fr?le les 100 % du PIB, le ch?mage s'établit à 15,5 % et plus de 20 % des Grecs vivent avec moins de 400 euros par mois. [url=http://www.rivaluta.it/css/moncler.html]moncler outlet[/url] Parmi eux se trouvent de nombreux jeunes [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] dont le vote sera l'une des inconnues de ce scrutin.
les émeutiers d'Athènes fin 2008 ?, explique la chercheuse Corinne Deloy dans une note pour la Fondation Robert- Schuman.

Grèce . Le Pasok du socialiste Georges Papandréou est le favori des élections législatives anticipées du 4 octobre. La dégradation des finances du pays est au centre des débats.
Contrairement aux élections précédentes, le programme économique des deux grands partis diffère radicalement. Tandis que Caramanlis pr?ne une politique de rigueur (gel des salaires des fonctionnaires et des retraites) couplée à des réformes libérales (accélération des privatisations), Papandréou prévoit d'augmenter les dépenses publiques (hausse des salaires publics et des retraites) et de rétablir l'imp?t sur les grandes fortunes et les droits de succession. Toute la question est de savoir [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] si [url=http://www.buynflticketsonline.com]NFL Tickets[/url] le vainqueur des élections disposera d'une majorité suffisante pour mettre en oeuvre son programme.
Triomphateur en mars 2004, année du retour au pouvoir de la droite après près de deux décennies de règne socialiste, vainqueur sur le [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] fil en septembre 2007, le premier ministre Costas Caramanlis semble mal parti pour réaliser la passe de trois à l'occasion des élections législatives anticipées du 4 octobre. Empêtré dans des affaires de corruption à répétition alors qu'il avait promis de moraliser la vie politique, critiqué pour sa gestion de la révolte de la jeunesse en décembre 2008 et des récents feux de forêts, Costas Caramanlis a été contraint par son adversaire d'avancer la date du scrutin, prévu initialement en 2011. Le Pasok mena?ait de bloquer l'élection au suffrage indirect du président de la République en mars 2010, ce qui aurait provoqué automatiquement des [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] élections législatives anticipées.

Selon les derniers sondages, le Pasok obtiendrait plus de 40 % des voix, soit six à sept points de plus que la Nouvelle démocratie. Arriveraient ensuite avec 8,5 % des voix le Parti communiste grec (KKE), la formation d'extrême droite Laos avec 6,5 % des intentions de vote, et la Coalition de [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] la gauche radicale Syrisa avec 3,5 %. Le leader de Synaspismos (principal parti de la coalition Syrisa), Alexis Tspiras, ? est en baisse de popularité depuis qu'il a exprimé sa sympathie [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] pour
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