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“Il raggiungimento di questa intesa con importanti operatori coreani – – è la dimostrazione che il Made in Italy è sempre molto apprezzato ovunque nel mondo. La scelta di [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] questo partner commerciale [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] non è casuale: i mercati orientali, soprattutto nel settore del lusso, rappresentano uno sbocco importante e da non trascurare. Abbiamo avviato un percorso di internazionalizzazione del nostro marchio attraverso il quale contiamo, da qui a qualche mese, di essere presenti nei punti vendita più glamour del mondo”.
In occasione di questo importantissimo evento istituzionale, la Ulturale [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] Cravatte, su commissione del Ministero degli Affari Esteri, attraverso il Commissario Generale Amb. Claudio Moreno, ha creato delle cravatte ad hoc con il logo ufficiale dell’esposizione tessuto al sottonodo, che saranno consegnate come cadeau della Farnesina alle autorità internazionali che si recheranno a visitare il padiglione Italia.
Inoltre, sempre in Corea del Sud, il brand Ulturale è presente anche all’Esposizione Internazionale di Yeosu, in programma dal 12 maggio al 12 agosto 2012.
* Il logo riportato sulle Cravatte Ulturale, cui è affidata la sintesi concettuale e visiva del padiglione Italia, prende spunto da un simbolo, la rosa dei venti, che richiama la tradizione marinara, uno dei tratti identitari [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] del nostro Paese. Il segno, una stella a sedici punte sovrapposte indicanti la direzione dei venti del Mediterraneo, associati ai punti cardinali, richiama il tema dell’Expo di Yeosu 2012 che si propone di tracciare una rotta verso le politiche future legate agli oceani e alla salvaguardia delle coste. Gli elementi cromatici proposti richiamano i colori di bandiera ai quali si aggiungono due tonalità di azzurro che ricordano le sfumature del mare. I caratteri distintivi del marchio/logo rimandano ai concetti di tradizione, [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] continuità, equilibrio, relazione, sottolineando l’intento dell’uomo di comprendere la [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] natura, senza condizionarla. [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] Il tratteggio [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] corto in marrone chiaro che caratterizza a livello plastico il segno, cita le tecniche di valorizzazione grafica delle incisioni [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] antiche, al fine di attribuire al marchio un carattere classico e istituzionale.
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La , titolare del marchio , eccellenza del Made in Napoli nel mondo, [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] ha siglato un importante accordo commerciale con il Gruppo Hanwha, colosso coreano operante nel settore del lusso e titolare della catena “Hanwha Galleria”.
Oltre che con la Farnesina, la Ulcea può vantare consolidate partnership con l’Accademia Aeronautica, il ConiServizi, l’Interpol, la Bnl oltre che con i più prestigiosi Circoli d’Italia.
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In virtù di questo accordo, le cravatte [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] Ulturale [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] saranno in vendita a Seoul, capitale della Corea del Sud e centro politico, culturale, sociale ed economico più importante dello stato, presso il negozio “G.street 494 Homme” sito in Galleria Luxury Hall 4F .
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C'est [link widoczny dla zalogowanych] une campagne électorale qui a lieu, mercredi 12 janvier, devant la porte d'entrée n° 2 de l'usine de Mirafiori, la plus grande (2 millions de m2) et la plus ancienne (inaugurée en 1939) usine du groupe , dans les faubourgs de Turin. De l'issue du référendum interne organisé jeudi 13 et vendredi 14 va dépendre le sort des relations sociales et des accords nationaux. Un tournant historique pour l'.
Depuis qu'en juillet 2010, les employés [link widoczny dla zalogowanych] du site de (Campanie) ont voté un accord similaire, les arguments se sont simplifiés à l'extrême. "Si le non l'emporte, nous fermerons Mirafiori et nous investirons ailleurs", menace M. Marchionne. "Il veut qu'on travaille comme des Chinois", dénonce la FIOM. Entre eux, 5 500 employés. Traversant la forêt de micros et de caméras, sans les , ils passent, silencieux, entre des haies de militants des deux bords.
"N'ayez pas peur. Marchionne ne fermera pas l'usine", répète comme un mantra une militante du non. "C'est [link widoczny dla zalogowanych] ?a où la rue, s'énerve un partisan du oui. Si on ne vote pas l'accord, qui défendrons-nous demain ? Des ch?meurs ?"
Dans les couloirs du Lingotto, le site historique de Fiat à Turin, un communicant de l'entreprise se félicite : "Nous sommes les premiers à en éclats la loi de 1970 qui régit les relations sociales et les contrats de travail nationaux." Pour la FIOM, au contraire, "il n'est pas acceptable de sur les 5 500 votants de Mirafiori le sort du droit du travail en Italie". Caricaturé par ses adversaires en "immobiliste nostalgique d'un ?ge d'or révolu", son secrétaire général, Maurizio Landini, dénonce notamment un des articles du nouveau contrat stipulant que seules les organisations signataires pourront désormais élire des représentants sur les sites italiens Fiat-Chrysler. [link widoczny dla zalogowanych] "Ce n'est pas Marchionne qui va décider de la vie et de la mort de la FIOM !", continue-t-il, en annon?ant une "grève d'avertissement" le 28 janvier.
"Tout ce qu'il a annoncé, il l'a fait. On doit en compte." Dans son bureau enfumé au siège de la UIL, syndicat modéré signataire de l'accord, Maurizio Peverati, délégué régional, fait les comptes : "Nous allons une augmentation de salaire d'environ 3 000 [link widoczny dla zalogowanych] euros par an en raison de la généralisation du travail [link widoczny dla zalogowanych] de nuit et de l'ouverture du site 6 jours sur 7. Plus 30 euros par mois en échange de l'abandon de 10 minutes de pose par vacation. En revanche, nous devrons davantage d'heures supplémentaires [link widoczny dla zalogowanych] et les congés-maladie seront plus surveillés." Il ajoute, un peu pensif : "Il y a quinze ans, cet accord m'aurait dégo?té, mais avec le taux de ch?mage, le nombre de précaires, [link widoczny dla zalogowanych] on peut ce sacrifice pour l', non ?"
Et si Sergio Marchionne ne bluffait pas ? Et s'il allait, lui, réaliser la "révolution libérale" promise en vain par depuis seize ans ? De 2004, date de son arrivée à la tête de Fiat, à aujourd'hui, ce financier a sorti l'entreprise du gouffre, apuré les comptes, pris 25 % du capital de Chrysler sans que les actionnaires ne déboursent un euro, scindé l'entreprise en deux entités dont les cours ne cessent de à la de Milan, annoncé la fermeture du site moribond de Termini Imerese en Sicile à la fin 2011. Son objectif est clair : Fiat-Chrysler [link widoczny dla zalogowanych] doit à l' 6 millions de véhicules par an pour résister à la concurrence mondiale. A une condition : davantage de productivité et de flexibilité.
Ce [link widoczny dla zalogowanych] réalisme est aussi celui de , secrétaire régional de la [link widoczny dla zalogowanych] CISL, un autre syndicat signataire. "25 % des 100 000 métallos de la région sont au ch?mage technique. L'unique investissement prévu sur le territoire est celui proposé par Fiat. Il n'y a pas d'alternative à ce plan. Sans travail, cela ne sert à rien de de droits."
Mais les mégaphones et les drapeaux des opposants à l'accord pèsent peu face au patronat, au gouvernement et à une partie de la gauche, qui l'approuvent. "Si j'étais un ouvrier, je voterai oui", a déclaré , le candidat du gauche à [link widoczny dla zalogowanych] la mairie de Turin, où les élections auront lieu en mars. 61 000 signatures en faveur des "nonistes" de Mirafiori étaient recueillies, mercredi soir, à l'appel de l'écrivain , de l'astrophysicienne et du philosophe d'Arcais. Pas plus que le nombre d'employés de Fiat en Italie...
La tête de requin géante en plastique ballotte au bout d'un b?ton. Il a des dollars à la place des dents, [link widoczny dla zalogowanych] et des cr?nes au fond de la gueule. Sous sa m?choire, il est écrit "Sergio", comme le directeur général de Fiat, . Les billets, ce sont les profits de l'entreprise ; les cr?nes, ceux des ouvriers. Les tracts que distribuent les militants de la FIOM, la branche métallurgie de la CGIL - le plus important des syndicats italiens -, sont à l'avenant : "Si tu leur donnes un doigt, ils te prendront le bras", dit l'un d'eux. Il y a des drapeaux rouges, des caméras de télévision, des cars-régies, des journalistes.
Reste l'étrange silence de l'entreprise. Autant qu'à un sacrifice, les employés de Fiat, qui ont tous connu de longues périodes de ch?mage technique en 2010, sont appelés à le pari d'une hypothétique reprise des ventes. Le constructeur a annoncé en avril 2010 un investissement de 20 milliards d'euros sur cinq ans en Italie. Pour quoi, s'interrogent les tenants du non au référendum ? Quels modèles ? Quelle technologie ? Face à ces demandes, M. Marchionne s'abrite derrière le secret industriel.
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D'un c?té, Fiat, qui veut un accord, signé le 23 décembre 2010 par la majorité des syndicats, prévoyant un contrat de travail ad hoc pour le site de Mirafiori en échange d'une promesse d'investissements [link widoczny dla zalogowanych] d'un milliard d'euros ; de l'autre la FIOM, seul syndicat à s'y , qui dénonce un "chantage", une atteinte aux "droits acquis" et un "sabordage" de la convention nationale de la métallurgie.
Devant le mutisme des employés, les caméras cherchent d'autres témoignages. Eugenio Penon est un bon client. 71 ans, retraité de Fiat, communiste, il harangue les tenants du oui : "Je me suis battu pour les acquis que vous allez !" La veille, c'est un autre retraité, Agostino Antonio, 73 ans, qui a tenu la vedette. Entouré de micros, sommé de se en faveur d'un camp, il a craqué, en larmes : "Je comprends ceux qui défendent leurs droits, a-t-il dit. Mais je comprends aussi ceux qui ne veulent pas dans le vide."