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Cette résistance inattendue de l'inlandsis groenlandais a un corollaire immédiat. Ce dernier [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] n'a pas pu à la forte hausse du niveau de la mer qui a marqué l'eémien. Les océans étaient alors plus élevés de quatre à huit mètres par rapport à leur niveau actuel... "Jusqu'à présent, on pensait volontiers que la [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] perte de glace du Groenland avait pu à cette élévation pour environ quatre mètres", résume Mme Masson-Delmotte. Ces nouvelles données plaident plut?t pour une valeur moitié moindre, autour de deux mètres.
Les [url=http://service.cjfcw.com:8083/home.php?mod=space&uid=28221][/url] causes de ce arctique très chaud tiennent aux variations de l'axe de rotation de la Terre et de son orbite - ces paramètres variant très lentement, à l'échelle de millénaires. Plus exposées aux rayonnements solaires, les hautes latitudes étaient alors bien [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] plus chaudes [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] qu'actuellement. Pourtant, malgré un ensoleillement estival plus important et [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] des températures arctiques plus chaudes qu'actuellement, "l'altitude de la calotte n'a baissé que de 300 mètres environ au cours de cette période, à [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] l'endroit du forage", dit Valérie Masson-Delmotte, chercheuse au Laboratoire des du climat [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] et de l'environnement (CEA, CNRS et université de Versailles - Saint-Quentin-en-Yvelines) et coauteure de ces travaux.
DES OC?ANS PLUS ?LEV?S DE QUATRE ? HUIT M?TRES
NEEM (North ), coordonné par (université de Copenhague).
Une étude comparative publiée en 2011 dans Climate of the Past, montre de grandes différences. "Ces deux perturbations ont des effets similaires sur les températures d'été en Arctique, mais l'effet de serre entra?ne aussi un réchauffement important en hiver, ce qui n'est pas le cas lorsque l'orbite terrestre change ", résume Valérie Masson-Delmotte. De plus, le réchaufement de l'eémien s'est opéré sur des milliers d'années tandis que l'actuel se joue sur un ou deux siècles.
C'est une surprise de taille. "Nous avons levé un gros lièvre !", résume Jér?me Chappellaz, [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel[/url] chercheur au Laboratoire de glaciologie et de géophysique de l'environnement (CNRS, université ) et coauteur de ces travaux. De fait, les de la carotte de glace extraite sur une profondeur de 2 500 mètres environ ont permis de déterminer qu'en été, au cours de l'eémien, les températures locales pouvaient être de 4 oC à 8 oC supérieures aux températures préindustrielles.
UNE SURPRISE DE TAILLE
Pour les deux mètres manquants, "il faut se vers l'Antarctique", explique Jér?me Chappellaz. Contre toute attente, la fonte des glaces du sixième continent [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie[/url] aurait donc pu plus qu'escompté à l'élévation du niveau marin que le Groenland...
Impossible à . Car le climat de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] l'eémien, réchauffé par l'inclinaison de la Terre, n'est pas un analogue parfait du climat actuel, réchauffé par une augmentation de l'effet de serre.
Conduit dans le nord-ouest du Groenland, ce forage a permis d' une glace ancienne, dont la [url=http://www.huzhuchina.com/viewthread.php?tid=54951&pid=56602&page=1&extra=page%3D1#pid56602]jordan pas cher Dioxine la France a reçu un lot faiblement contaminé[/url] composition permet de déduire les variations de la température, de la composition de l'atmosphère, mais [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] aussi de la hauteur de la calotte glaciaire - donc de son épaisseur. Cette dernière donnée indique que le grand inlandsis de l'hémisphère Nord a résisté bien mieux qu'escompté à des températures estivales bien plus élevées que les niveaux actuels.
Le paradoxe de la situation est que, aujourd'hui, les mesures satellites notent une accélération de la perte de masse de l'inlandsis groenlandais alors que le tableau est bien plus incertain en Antarctique. Faut-il s' à ce [url=http://cgi.ebay.co.uk/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&rd=1&item=350296583336&ssPageName=STRK:MESE:IT]giuseppe zanotti soldes Chine[/url] que le Groenland contribue moins que prévu, dans les prochaines décennies, à la hausse du niveau marin ?
UNE [url=http://www.mnfruit.com/abercrombie.php]abercrombie pas cher[/url] SITUATION PARADOXALE