www.switbogowrp.fora.pl

xrhrx1q7

"Dans les sites de production en France, la productivité a augmenté de 20 % en cinq ans alors que les effectifs ont fondu d'autant, déplore-t-on à la CFDT. Il n'y a jamais de plan , mais des départs non remplacés, des plans [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de cessation d'activité, une fa?on générale de les [url=http://www.jpdo.net/cgi0/50sb/joyful.cgi]hollister outlet sale Rail [/url] salariés vers la porte dès qu'ils ont 55 ans." La direction conteste ces chiffres, et affirme qu'en moyenne 508 personnes ont été embauchées chaque année depuis 2005 : l'effectif dans l'Hexagone est [url=http://www.compuphonic.co.uk/index.php?do=/blog/add/]barbour How To Turn Out To Be A $100K Welder[/url] passé de 11 420 en 2005 à 12 263 en 2009.
Les syndicats admettent que L'Oréal reste l'une [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] des seules entreprises fran?aises à fr?ler le plafond maximum autorisé en termes d'intéressement aux salariés. Quant à son attractivité auprès des , elle semble intacte.
Classique querelle de chiffres, la direction affirme augmenté les rémunérations de deux fois plus que l'inflation depuis 2006. Et de 4,7 % en 2009, soit un peu plus que la hausse des dividendes (+ 4,2 %). Selon la direction, la politique de distribution des dividendes (44 %) est en ligne avec la moyenne du CAC 40 (45 %).
Jean-Paul Agon, directeur général, a adressé une lettre aux collaborateurs du groupe le 13 juillet. "Après les semaines de turbulences médiatiques intenses autour de "l'" que nous venons de traverser", il leur explique la conduite à s'ils sont interrogés, et leur demande de un "devoir de réserve". Avec un leitmotiv : "Il s'agit d'une affaire strictement familiale et privée" qui ne "concerne pas directement la marche de l'entreprise".
La CGT est plus virulente : "Les salaires augmentent moins que l'inflation", déplore M. Crayon. Il fustige "le déséquilibre dans la répartition des richesses, avec des dividendes en très forte hausse pour les actionnaires, mais trop peu de chose pour les 12 000 salariés fran?ais, alors que précisément, chez L'Oréal, il y a assez d'argent pour que tous, les [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] actionnaires comme les salariés, soient heureux."
. Chez les salariés de L'Oréal, le géant mondial des cosmétiques, la révélation, au mois de juillet, de l'existence d'une convention et d'un contrat entre le groupe et Héricy, la société du photographe Fran?ois-Marie Banier, proche [url=http://www.ilyav.com/isabelmarant.php]isabel marant pas cher[/url] de Liliane Bettencourt, en est l'exemple. D'un montant de 710 000 euros par an, l'accord signé jusqu'à la fin 2011 inclut un contrat de parrainage (305 000 euros) et, à hauteur de 405 000 euros, des prestations de conseil à la [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] direction générale dans le domaine de l'art et l'organisation d'au moins une exposition d'envergure par an (Le Monde du 31 juillet). Un accord d'autant plus critiqué [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] que les 67 000 salariés du groupe, répartis dans 130 pays, ont l'impression d'en bel et bien fini avec les années d'opulence et d'être soumis à des plans de rigueur drastiques.
Il encourage ses troupes à prêcher "le dynamisme et le succès de L'Oréal", qui permet de des centaines de millions de clients dans le monde. "Cette affaire ne doit pas nous oublier que notre entreprise va bien, comme en témoigne la forte hausse du chiffre d'affaires semestriel", poursuit-il. Celui-ci a atteint 9,67 milliards d'euros, soit + 10,2 % en données publiées (+ 6,3 % à structure et taux de change identique) par rapport à la même période de 2009.
Depuis le début du spectaculaire feuilleton qui oppose , principale actionnaire de L'Oréal, à sa fille Fran?oise Bettencourt-Meyers, la direction du groupe de cosmétiques tient à se à l'écart de l'affaire. Pour que L'Oréal ne soit pas éclaboussé par ce qui ne relève que d'un "conflit familial". Même s'il est devenu une bombe à fragmentation .
"Puisque Fran?ois- est de fait un salarié de L'Oréal, l'affaire devient une affaire L'Oréal", affirme , délégué [url=http://hccweb6.bai.ne.jp/nyanji/cgi-bin/aska.cgi]hollister La zone euro veut g[/url] central CGT de L'Oréal. Les représentants syndicaux de la CFDT [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] ont, eux, bien l'intention de à la direction générale des éclaircissements sur le contenu exact du contrat signé avec M. Banier, lors du prochain comité central d'établissement. Ils souhaitent que s'explique sur cet accord conclu quand il était PDG de l'entreprise. Les largesses accordées au photographe passent mal.
Même si, autre effet collatéral de l'affaire Bettencourt, le passé sulfureux du groupe resurgit dans les . Avec [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php‎]giuseppe zanotti soldes[/url] les convictions d'extrême droite d'Eugène Schueller, le fondateur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] du groupe, ou les écrits antisémites d'André Bettencourt, le mari de Liliane. Ce sont là des faits connus. Jean-Paul Agon avait ouvert les archives de L'Oréal en 2007 à l'historien Jacques Marseille. Dans L'Oréal 1909-2009 (Perrin, 2009), il avait salué cet effort de la part d'"une entreprise qui avait finalement plus à de l'ombre que de la lumière".
Aujourd'hui, l'impact de l'affaire Bettencourt ne semble pas vraiment tangible dans [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] la vie du groupe, qui n'a d'ailleurs pas eu recours à un cabinet de crise. Mais jusqu'à quand pourra cette étonnante étanchéité entre le rocambolesque feuilleton et la marche des affaires de L'Oréal ?
Des économies de tous ordres sont imposées aux salariés, qu'il s'agisse de sur les voyages et le train de vie général ou du gel des embauches pendant la crise, à l'exception des jeunes cadres sortis d'écoles. Jusqu'à présent, L'Oréal a acheté une paix sociale en payant chaque année, en avril, l'équivalent [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] de plus de trois mois de salaire en participation et en intéressement, rappelle [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] la CFDT, qui déplore néanmoins "une dégradation des conditions de travail".