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Engagées fin novembre 2010 après le sauvetage de l'Irlande, les discussions ont été relancées cette semaine lors d'une réunion des directeurs du Trésor à Bruxelles. Déterminée à l'euro, l' se montre moins réticente ; son ministre des finances [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] a confirmé mercredi soir que les pays de l'euro travaillaient à "un paquet exhaustif" de mesures. D'après José , "la capacité effective de prêt (du fonds) doit être renforcée et le champ d'action de ses activités, élargi". Mardi, le président de la Commission a rencontré , le directeur général du FMI, lui-même favorable, comme le patron de la Banque centrale européenne (BCE), , au renforcement du dispositif.
Le cataclysme redouté par certains n'a donc pas eu lieu. Une aubaine pour le gouvernement portugais, qui s'est empressé de une nouvelle fois l'option d'une assistance financière de l' (UE) et du Fonds monétaire (FMI). "Nous n'avons pas besoin de cette , car nous sommes capables de par nous-mêmes", a déclaré le premier ministre, José Socrates. "Un signe encourageant", selon le [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] ministre allemand des , Wolfgang Schaüble.
Les pays de la zone euro réfléchissent enfin à la mise en oeuvre de lignes de crédit qui seraient mises à disposition des Etats, au cas où, en échange de contreparties moins strictes. Ce dernier dispositif, déjà en vigueur au FMI, pourrait notamment de l'Espagne, le cas échéant, sans la [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]outlet hogan[/url] véritablement sous assistance. Mais il est exclu de l' pour le Portugal.
La pression [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] devrait donc vive sur le gouvernement portugais. "Les Portugais ne vont pas leurs titres toute l'année à ce prix-là", estime un haut fonctionnaire bruxellois. D'après lui, les pressions "amicales" devraient se dans les prochains jours, et semaines, afin de le gouvernement Socrates d' une [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] aide avant que les marchés ne s'affolent à nouveau. Car au-delà du Portugal, les Européens ont les yeux rivés sur l', quatrième économie de la zone. Qu'elle vacille à son [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] tour et les conséquences risquent de incontr?lables. "Tout [url=http://www.hanesmorgan.com]hollister sale[/url] le monde est très angoissé par le cas espagnol, qui est beaucoup plus compliqué", confirme un opérateur sur le marché de la dette souveraine.
"Force de frappe"
D'autres pistes sont en discussion. Les pays de la zone euro envisagent de au fonds d' des titres de dette d'un Etat menacé de naufrage, comme le fait la BCE sur le marché secondaire. Une innovation qui nécessite un changement de statut du FESF. Ils progressent aussi dans l'idée d'alléger les taux d'intérêt consentis aux pays placés sous assistance. A ce jour, les co?ts d'emprunt, à plus de 5 %, sont [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] jugés trop élevés pour les Grecs et les Irlandais.
Un soulagement, ou pour le moins une bouffée d'oxygène. Mercredi 12 janvier, malgré un de défiance extrême, le a testé avec un relatif succès les marchés financiers : il est parvenu à "lever" sans peine 1,25 milliard d'euros pour son premier emprunt de l'année. Les acheteurs ont été nombreux et le taux d'intérêt exigé par les investisseurs moins élevé qu'attendu (6,71 % pour les titres à échéance 2020).
D'après [url=http://bbs.nbcfo.com/thread-29998-1-1.html]peuterey outlet Un cercueil pour le Centre Pompidou[/url] nos informations, un consensus semble se [url=http://www.rivaluta.it/hot/hogan.asp]hogan outlet[/url] dégager afin d' les capacités de prêts du fonds, [url=http://clan-matrix.com/index.php?site=forum_topic&topic=null]doudoune moncler Making Hundreds Each Month Sellin[/url] tout en restant dans [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] le cadre des [url=http://cnxpt.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2289&pid=74372&page=2&extra=#pid74372]nike air jordan pas cher Could Insurance Claims As[/url] 440 milliards de garanties accordées par les Etats de la zone euro. A ce jour, le Fonds [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] ne peut pas , avec la note triple A, plus de 250 milliards d'euros pour prêter à un pays en difficulté. "Le travail technique doit être poursuivi sur la meilleure fa?on d' cette force de frappe", dit un des négociateurs.
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Mais cette conviction n'est pas partagée par tout le monde. Après l'opération de mercredi, de faible envergure, Lisbonne est loin d' bouclé son programme de financement pour l'année. Or la situation reste précaire avec des taux d'intérêt susceptibles de à toute vitesse. "Malheureusement, le Portugal n'a sans doute fait qu' un peu de temps. Les marchés restent persuadés que le pays devra t?t ou tard appel à l'aide extérieure", analyse , stratégiste chez Natixis.
L'épreuve de force avec le Portugal s'accompagne d'intenses tractations au sujet du renforcement du Fonds européen de stabilité financière (FESF). Un exercice engagé sans succès depuis le sauvetage de l', fin novembre 2010, mais qui progresse dans l'espoir d'un compromis lors du prochain sommet européen, le 4 février. L'enjeu est triple : la capacité d'action du fonds, élargir la palette de ses instruments et leur activation. "Le problème actuellement est qu'aucun Etat ne veut à un programme d'aide, car ceux-ci sont per?us comme une [url=http://www.eracorrect.com]mulberry sale[/url] humiliation et une perte de souveraineté, en raison des conditions qui leur sont attachées", dit un expert bruxellois.