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L'idée est séduisante. Mais, dans les ayant mis en place un réseau social interne, la véritable collaboration n'est pas pour demain. Certains dirigeants frileux s'inquiètent, en effet, de ce de fonctionnement venu de la sphère personnelle. Pour les acteurs du secteur, le problème de fond reste l'appropriation du réseau par les salariés.
de l'entreprise une dizaine de fois par jour avec mon smartphone", confie , directeur général délégué de . Depuis octobre [url=http://www.mylnefieldanalysis.co.uk/barbour.html]barbour outlet[/url] 2012, le numéro deux mondial des vins et des spiritueux s'est doté d'un réseau social interne.
Les 18 800 collaborateurs, des chargés de [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] produits aux membres de la direction, peuvent s'y créer un profil, des messages ou ceux de leurs collègues, à la manière d'un professionnel. "Ce type d'outil favorise l'échange direct. Certains salariés, qui n'auraient jamais osé m' un mail, me posent des questions par le réseau", se réjouit [url=http://www.re-tek.co.uk/abercrombie.html]abercrombie uk[/url] M. Ricard.
Pour , professeur de droit à Paris-I-Sorbonne, l'intérêt des entreprises est aussi là, même si celles-ci soulignent davantage les bénéfices attendus en termes de transversalité et d'innovation. "Les jeunes discutent déjà de ce qui se passe dans leur société sur les réseaux sociaux externes. Un des objectifs des entreprises est aussi de réinternaliser ces [url=http://www.rathmell-arch.co.uk/hollister.html]hollister uk[/url] discussions potentiellement dangereuses", explique-t-il. D'autant que, gr?ce à l'interdiction de l'anonymat, le risque de dérive sur le réseau d'entreprise est limité...
Mais le mouvement est en marche. Selon une étude du cabinet Lecko, à para?tre fin janvier, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] le marché fran?ais des éditeurs de réseaux sociaux d'entreprise a représenté 26 millions d'euros en 2012, contre 9,5 millions en 2011. Des chiffres à à ceux des Etats-Unis, où la culture d'entreprise est plus collaborative : le cabinet d'études Forrester évoque un peu plus de 600 millions de dollars (449 millions d'euros) en 2012.
En France, de plus en plus d'entreprises se laissent séduire par cet intranet nouvelle génération. , L'Oréal, BNP Paribas, Lyonnaise des eaux, Renault, Saint-Gobain, La Poste, AG2R La Mondiale et Atos (dont le PDG, , a promis la fin des e-mails internes à l'horizon 2014), ont déjà franchi le pas.
Dans une fran?aise de l'entreprise qui repose sur une hiérarchie verticale - symbolisée par le bon vieil intranet -, le réseau social d'entreprise demeure difficile à appréhender. Ce [url=http://www.hypsos.com/member/3727/]hogan outlet La méthode Hollande à lépreuve du[/url] dernier se veut "horizontal", tous les salariés, du sommet à la base, y partageant le même statut. Il met les participants sur un pied d'égalité sur le plan de la capacité d'échanges.
Mais la hiérarchie reste dans les têtes des salariés. Elle qui reposait sur la détention d'informations est remise en question par le réseau social interne, où l'information est partagée et accessible à tous. Certains managers intermédiaires doivent ainsi réinventer leur place. "Le middle management ["l'encadrement intermédiaire"] peut de le de l'information, mais tout l'enjeu est de à un management plus efficace", explique Ziryeb Marouf, responsable [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] du Groupe RH 2.0 et [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] directeur de l'Observatoire des d'entreprise.
Pour l'instant, "les entreprises et les salariés ne sont pas encore m?rs", concède , directeur des ventes et services à l'échelle mondiale chez blueKiwi, leader fran?ais des éditeurs de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] réseaux sociaux d'entreprise, racheté en avril 2012 par le groupe fran?ais de informatiques Atos. "Passer d'un mode de fonctionnement vertical à un mode collaboratif est un changement de comportement profond qui prend au moins deux [url=http://www.njzhangwenjun.com/Review.asp?NewsID=1636940929]La réforme de Wall Street, une avancée considérable pour piloter les risques globaux [/url] à trois ans", observe-t-il.
PARTICIPANTS SUR UN PIED D'?GALIT?
"Le réseau social d'entreprise n'efface pas du tout la notion de hiérarchie, qui reste nécessaire", tempère , directeur général du cabinet d'études en organisation et nouvelles Lecko. Pour lui, "les dirigeants prennent de plus en plus conscience de l'intérêt [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] qu'ils ont à en place ce type d'outil collaboratif pour conna?tre le qui règne dans l'entreprise et aux salariés de s' sur les choses qui dysfonctionnent, plut?t que de ne rien . Car, aujourd'hui, les informations circulent dans tous les cas".
Malgré les encouragements des responsables, la plupart ne font que sans . Ou, pire, boudent le réseau de l'entreprise, car ils n'y voient pas d'intérêt professionnel. Résultat, le réseau ne [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] peut sa valeur ajoutée, qui repose sur la participation active du [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] plus grand nombre.
NOMBREUX SONT QUI PR?F?RENT PRUDENTS
Mais la collaboration ne s'impose pas d'elle-même. Face à cet outil mis [url=http://poppinboy.gotoip4.com/home.php?mod=space&uid=72891][/url] en place par la direction de l'entreprise, nombreux sont [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] les salariés qui préfèrent prudents.