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L'audience de la presse fran?aise est modeste. Le Monde et Le Figaro arrivent en tête, avec chacun un peu plus de 1 600 [url=http://www.gznewyork.com.cn/bbs/home.php?mod=space&uid=18849][/url] followers. L'Express encourage ses journalistes à "" sous leur [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] nom ou sous pseudonyme. Les sites d'information "pure players" sont aussi représentés, souvent par leurs journalistes. Pierre Haski, de Rue89, a un millier de suiveurs. Souvent, ces fils [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] fournissent des liens vers les sites d'information et attirent des visiteurs. Certains médias ont lancé des fils spécifiques pour des événements comme le . C'est le cas de la cha?ne Arte.
sur Internet intéressent les : le New York Times vient de une rédactrice en chef chargée de ces nouveaux outils, Jennifer Preston. Elle doit [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] en développer l'usage dans la rédaction, afin de "trouver des sources, dépister [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] des , des informations et en collecter", selon Jonathan Landman, directeur adjoint de la rédaction. Au premier rang de ces outils figure , le réseau de micro-blogging.
Certains [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] n'hésitent pas à les usagers pour de l'information en un temps record. Une méthode qualifiée de crowdsourcing (approvisionnement par la foule). Charles Arthur, [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] rédacteur en chef des pages technologies du Guardian, explique que son journal a demandé aux internautes, [url=http://www5e.biglobe.ne.jp/~yariko/yybbs/yybbs.cgi]nike air jordan pas cher Mobi[/url] via , de vérifier que les parlementaires anglais avaient bien publié leurs notes de frais sur leur site Web. "Twitter permet de des appels à témoins, note , journaliste à Lexpress.fr. [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] Il enrichit le carnet d'adresses."
"APPELS ? T?MOINS"
Twitter est fréquenté par un public de news junkies, accros à l'information. Le réseau s'est ainsi vite créé une réputation [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] dans les breaking news, c'est-à-dire les informations urgentes. Il a été le premier à l'amerrissage forcé d'un avion dans l'Hudson (New York), le 15 janvier. Il est devenu un outil de veille. "Ce qui est intéressant, c'est que [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] cela joue dans [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] les deux sens, souligne Marie-Catherine Beuth, du Figaro. On pêche des infos, on en partage d'autres." Jeff Mignon, consultant pour les médias à New York, considère comme "une agence de presse personnelle et professionnelle".
Twitter concerne les médias comme moyen de diffusion de l'information. Selon le site Twitterholic. com, qui tient à jour le top 100 des fils sur le réseau, CNN arrive au quatrième rang, avec 1,69 million de followers (suiveurs) et le Times au quatorzième, avec 1 million. Le fil sur les du Guardian (Guardiantech) rassemble 600 000 abonnés - à avec la diffusion du quotidien papier (400 000 exemplaires).
L'outil peut une addiction. "Depuis que je suis sur , [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] je consulte moins les blogs, remarque Emmanuel Torregano, rédacteur en chef du site Electronlibre.info. J'y suis plus accro qu'au fil AFP." Edward Wasserman, professeur de journalisme, met en garde dans le Miami Herald contre un autre danger : "Les journalistes risquent de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] ne plus le nez dehors et [url=http://zzb.zmc.edu.cn/main/E_GuestBook.asp]doudoune m[/url] de rivés devant leurs écrans, ignorant ceux qui ne sont pas connectés."