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Ces résultats vont dans les négociations entre les socialistes et des écologistes confortés dans leurs exigences. "On avait la certitude [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] depuis longtemps que les citoyens avaient évolué beaucoup plus vite que les dirigeants politiques", [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] a aussit?t réagi Cécile Duflot qui, plébiscitée à la tête [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] d'Europe Ecologie-Les Verts, estime qu'une "loi de sortie du nucléaire" est "une exigence absolue" dans l'accord de gouvernement que sa formation veut avec [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] le PS.
Au , Ségolène Royal s'est dite, sur i-Télé, pour "une programmation de sortie du nucléaire" : "Quand on nous dit qu'on ne peut pas du nucléaire, c'est tout à fait inexact puisque si on met 60 000 éoliennes sur le territoire national, on a l'équivalent de la production des centrales nucléaires. Ce n'est pas un problème technique, c'est ." Plus nuancé, indique : "Ma position, en tant que candidat à l'élection présidentielle, est claire : la France doit le même effort que l' en quinze ans, soit réduire de [url=http://park1.wakwak.com/~flyfisher/cgi-bin/zz7/joyful.cgi]hollister sale Comment la Fra[/url] [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] 75 % à 50% notre dépendance au nucléaire d'ici à 2025."
"Plus vite que les dirigeants"
M. Besson ajoute : "Lorsqu'on demande aux Fran?ais s'ils sont prêts à plus cher l'électricité pour du nucléaire, la réponse est contradictoire. C'est une question qui mérite débat. J'ai toujours craint un référendum : le sujet ne s'y prête pas, car il ne peut pas être abordé par oui ou par non. Il s'inscrit dans le cadre d'un débat pour l'élection présidentielle."
Reste à si le net infléchissement de l'opinion fran?aise vis-à-vis du nucléaire constitue une tendance durable. L'accident de Fukushima, au , a marqué les esprits. Mais la récente décision de l'Allemagne de toutes ses centrales dès 2022, choix jugé "réalisable" par 57 % des Allemands, a aussi changé la donne.
. Même après le sondage Ifop publié dans l'édition du Journal du dimanche du 5 juin, qui montre qu'une large majorité de Fran?ais sont aujourd'hui favorables à une sortie du nucléaire. "Nous restons sur [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] nos engagements de l'élection présidentielle, réagit Franck Louvrier, en communication de . La stratégie "gaullienne" est préservée : celle de l'indépendance énergétique gr?ce au nucléaire, tout en développant [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] les énergies renouvelables, pour lesquelles nous avons fait un effort considérable depuis 2007. L'indépendance énergétique, c'est rare en , et c'est sacré."
Les résultats de ce sondage sont pourtant un signal fort. Désormais, 62 % souhaitent que la [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url] France "arrête progressivement, sur vingt-cinq ou trente ans, son programme nucléaire", tandis que 15 % [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] sont partisans qu'elle "arrête rapidement". Ils sont donc, au total, 77 % à désirer qu'à court ou moyen terme la France "cesse de fonctionner ses centrales". Au mois d'avril, ils étaient 51 % à un arrêt progressif, et 19 % un arrêt immédiat.
Pour la majorité, les enseignements du sondage sont d'autant plus embarrassants que, chez les sympathisants de l', 55 % se disent favorables à une sortie progressive de l'atome. Un tel scénario, prévient le ministre de l', , co?terait "très cher".
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"Ce sont les mêmes qui militent pour la sortie du nucléaire et qui ne veulent pas que la facture d'électricité augmente, commente le du chef de l'Etat. Or le renouvelable co?te quatre fois plus cher que le nucléaire. Il y a, de plus, les engagements pris dans la lutte contre le réchauffement climatique. C'est difficile de que l'on va du nucléaire et de de l'électricité au charbon pour protéger l'environnement."
De son c?té, la ministre de l'écologie, , ne pense pas qu'une sortie de l'atome, même progressive, soit possible. "Je crois [url=http://www.kfhfhh.com/forum.php?mod=viewthread&tid=1637659]hollister france It Is Not Tough To Make Your Home A Green House[/url] que le nucléaire fait partie du bouquet énergétique", a-t-elle dit sur France [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs2/epad.cgi]hollister france Asset Manage[/url] 2, tout en soulignant : [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] "On peut beaucoup plus fort sur la sobriété énergétique : la meilleure énergie est celle qu'on ne consomme pas."
"Il faut toujours ce que disent [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] les Fran?ais et ne pas le d'un revers de main, commente-t-il. Le résultat s'explique parce qu'on donne le sentiment, en posant la question sur une sortie étalée sur vingt à trente ans, qu'il s'agit de quelque chose de raisonnable. On [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] ne dit rien aux Fran?ais des conséquences sur le prix à , la énergétique, les émissions de gaz à effet de serre, le caractère intermittent et complémentaire des énergies à effet de serre."