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Qu'émerge-t-il de tout cela ? L'image [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] d'un axe Berlin-Paris faisant la zone euro au son de sa propre musique, sans grand souci des quinze autres nations qui la composent.
La publication par le FMI, le 20 mai, d'un rapport d'évaluation de la adoptée durant deux ans à l'égard de la ("Greece : Ex of under the 2010 ", IMF no 13/156, juin 2013) est le second épisode de la guerre intestine qui déchire désormais la "tro?ka". La réaction violente d', économiste en chef de la Commission européenne, exprimant son "désaccord fondamental" avec les conclusions du rapport, témoigne de la profondeur du fossé qui s'est creusé.
Ce qu'affirme le rapport du FMI, pour qui sait entre les lignes, c'est que l'Allemagne et la France ont laissé la situation pour à leurs banques de récupérer les prêts "accordés" à la Grèce, l'ardoise étant réglée par la Banque centrale européenne devenue de fait "banque de défaisance", ou bad bank, comme disent plus cr?ment les Anglo-Saxons, c'est-à-dire, à l'arrivée, réglée par le contribuable européen.
Pour que le mistigri puisse ainsi être passé, le FMI a d? à ses propres principes en avan?ant des fonds à un emprunteur incapable de jamais les . Un "risque systémique [url=http://www.yxrs168.com/forum.php?mod=viewthread&tid=54802]barbour outlet Un soutien numérique pour les aidants bénévoles[/url] exceptionnel", [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] autrement dit, d'effondrement global – la justification de la Commission européenne – "continua, semble-t-il, d'être invoqué à chaque réexamen de la question, en dépit du fait que le risque de contagion se réduisait à mesure que la dette souveraine grecque migrait du secteur privé vers le secteur public", note [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] amèrement le rapport.
Selon la Banque des règlements internationaux, au 1er octobre 2010, le bilan des banques allemandes était grevé de dette publique grecque à hauteur de 19,2 milliards d'euros, celui des banques fran?aises à hauteur de 14,4 milliards. Secteurs commercial et public confondus, ce montant était de 50,6 milliards d'euros pour l'Allemagne et de 67 milliards pour la France, créancières à elles seules de 58,1 % du total de la dette grecque.
Plus de deux ans ont été perdus avant que n'intervienne la restructuration de la dette grecque en février 2012, affirme le FMI. Piqué au vif, Olli Rehn n'a pu s'empêcher de ce bl?me adressé à la Commission européenne... sur l'axe Berlin-Paris, en déclarant : "Je n'ai pas le que ait appelé de ses voeux en début de période une restructuration de la dette grecque, je me souviens distinctement par contre de y étant opposée."
Le temps passé en tergiversations, interprété par une opinion publique distraite comme une simple marque d'amateurisme de la Commission européenne, avait en réalité pour but de aux banques allemandes et fran?aises de se délester de ces actifs dévalorisés auprès [url=http://www.xiedele.banjiajia.com/forum.php?mod=viewthread&tid=119524&pid=2078865&page=4&extra=page=1#pid2078865]woolrich outlet Ferrero dénonce lamendement Nute[/url] de la BCE.
Pourquoi [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] l'Allemagne, pourtant visée dans ce rapport du FMI, a-t-elle conclu à la mi-mars, dans l'affaire de , une alliance avec celui qui la montre aujourd'hui [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] du doigt ? [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] Parce que l'Allemagne imagine que [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] sa tactique est passée inaper?ue et que les commentateurs se contenteront, à l'instar de ce qu'ils font depuis plusieurs années, d' le comportement de Berlin comme la conséquence du seul souci de Mme Merkel de se à la tête du gouvernement qui résultera des élections législatives du mois de septembre.
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Ce trio, composé de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire (FMI), a laissé la place à deux camps antagonistes, composés d'un c?té du FMI, de la BCE et de [url=http://www.lj-edu.cn/jsc/guestbook.asp]boots ugg[/url] l', et, de l'autre, de la seule Commission européenne. On lisait, dans le du 17 mars, ces propos étonnants : "Arrivée à ce point (...), la Commission avait perdu toute crédibilité à Berlin."
REPROCHES D?VASTATEURS
aux pays en difficulté de la zone euro ce qui est attendu d'eux en échange d'un plan de sauvetage financier, se clivait.
Bien que recourant aux euphémismes d'usage, les reproches qu'adresse le FMI à la Commission européenne sont en effet dévastateurs : incompétence, amateurisme et, plus sérieusement encore, complicité de deux poids lourds, Paris et Berlin, tirant parti du rapport de force en leur faveur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] pour payer les pots cassés non seulement par la Grèce, mais aussi par les autres pays de l'Union et par le contribuable européen en général, et cela au bénéfice exclusif [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] des établissements financiers.
L'ALLEMAGNE ET LA FRANCE JOUENT "PERSO"
AXE BERLIN-PARIS
Le jeu "perso" de l'Allemagne et de la France aura co?té très cher aux autres membres de la zone euro et mis en contravention avec ses propres principes le FMI, lequel vient de le au monde entier tout en rappelant discrètement aux deux intéressées qu'il n'était pas dupe de ce qui s'était réellement passé...
La Grèce [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] se trouve bien entendu au premier rang de celles-ci, victime expiatoire toute désignée en raison de ses crimes : exonération criante des grosses et des moyennes fortunes de toute logique fiscale, secteur étatique pléthorique et généreusement [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] rémunéré, enfin, désinvolture non sans arrière-pensées dans la production des statistiques économiques du pays.